La cabane de l’Aoulhet acte II

Nous sommes retournés au refuge de l’Aoulhet au dessus de Saint-Pé de Bigorre. Après travaux, la petite cabane que nous avions découverte en 2015 est devenue une halte très confortable.

La petite cabane en tôle vers laquelle nous avions grimpé autrefois (lire l’article précédent) est devenue un confortable point de chute pour randonneurs. Les travaux entrepris l’hiver dernier par le groupement pastoral de Saint-Pé-de-Bigorre ont permis de livrer ce refuge non gardé, ouvert toute l’année, dont une partie est consacrée à l’activité pastorale. On peut prendre ses aises ici, avec une vaste salle au rez-de-chaussée et une mezzanine comptant six couchages. De vraies assiettes, quelques ustensiles de cuisine et le poêle, tout est là pour une popote comme à la maison.  A propos du poêle, c’est une machine de guerre qui nous a obligés à dormir quasiment à poil alors que la neige tombait dru à l’extérieur.

Où ? A Saint-Pé de Bigorre, tout près de Lourdes.
C’est dur ? Le mollet chauffe un peu au début. 770 mètres de dénivelé sur les 3,3 kilomètres qui séparent le point de départ du refuge.
Combien de temps ? La montée est donnée pour 3 heures, mais elle se fait facilement en 2 heures.
Le départ ? A Saint-Pé-de-Bigorre, traverser le gave et suivre les panneaux Monastère du désert de l’Immaculée puis parking Peiras. La route finit devant le monastère des moniales. C’est le point de départ. La randonnée est balisée (marquage jaune).

Sur le retour : très bonne garbure au restaurant des Quatre saisons à Lestelle-Bétharram

Toutes les informations touristiques et l’offre de randonnées sur le site de l’Office de Tourisme de Saint-Pé de Bigorre

Aoulhet

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